Etonnant mais vrai !
Aujourd'hui, c'est la fête nationale à Singapour et ce soir, ses habitants sont incités à se lancer dans des ébats amoureux afin de faire remonter le taux de natalité dangereusement bas (1,2 enfant par femme).
Ce clip, sponsorisé par les bonbons Mentos, sur musique rap les encourage à copuler sans retenue :
Quelques extraits traduits
Ça commence par :
"Pourquoi tu manges un bonbon à la menthe mon amour ?
- Pour pouvoir t’embrasser sur la bouche.
– Mais pourquoi ?
– Parce que c’est la nuit nationale."
Un peu plus loin, les dialogues deviennent un peu plus sulfureux :
"Je ne te parle pas des défilés, ni des feux d’artifices, mais de ce qu’il y a après, faire un bébé.
Relève le taux de natalité de Singapour, oublie les drapeaux.
Je suis un mari patriotique, allume quelques bougies, explore ton corps comme un safari de nuit [soupirs, voix essoufflée et rauque]."
Cette incitation peut faire sourire mais quand on sait que Singapour est un des pays le plus coincé (le sexe oral était interdit jusqu'en 1995).
La pornographie y est encore interdite et draguer (même par un sourire) peut être considéré comme un attentat à la pudeur !
Ce clip évoque également la prime de naissance.
Elle est versée par le gouvernement et peut représenter entre 4000 et 6000 $ par enfant.
Près de l'Alsace, l'Allemagne connait également un faible taux de natalité
Cela va devenir un sérieux problème pour nos voisins s'ils n'arrivent pas à renouveller leur population (paiement des retraites...).
La raison : les femmes en Allemagne sont incitées à rester à la maison s'occuper de leurs enfants. Et il est parfois mal vu que les femmes travaillent et fassent garder leurs bambins dans des crèches.
L'éducation des enfants avant la carrière !
Une mentalité bien différente de la nôtre...
Heureusement, nous Alsaciens, sommes là pour les aider en travaillant dans leurs entreprises du Bade-Würtemberg.
Travailler comme frontalier ? Pourquoi pas !
Si des frontaliers lisent cet article, ce serait sympa de partager votre expérience dans les commentaires.