Les Grecs interdisaient aux athlètes de faire l'amour pendant les J.O.
Mohamed Ali préfèrait faire abstinence 60 jours avant chaque match important.
Le tennisman français a une vue différente du sujet :
"À dix-huit ou vingt ans, je m'interdisais tout rapport sexuel avant une rencontre, par peur de perdre toute mon énergie. Au fil de ma carrière, je me suis de plus en plus autorisé à faire l'amour les veilles de match. J'ai réalisé que non seulement ça ne me pénalisait pas, mais que ça me donnait la pêche."
Dans la Grèce antique toujours, on pensait que la frustation sexuelle entrainait l'agressivité.
Aucune véritable étude médicale n'a été lancée sur le sujet et rien ne prouve que faire l'amour produit des testotérones.
En fait, plus vous stressez, plus vous produisez de la cortisol et inversement moins de testotérones.
Donc, la relaxation est fortement conseillée aux sportifs.
Faire l'amour est une forme de relaxation, à condition de ne pas passer une nuit de folie au risque de se sentir vidé le lendemain.
Et les performances de la veille seront absentes pour la compétition.
Sans compter le manque de sommeil qui nuiera à la concentration.
En conclusion, les athlètes peuvent faire crac-crac pendant les J.O. à condition que cela les relaxe mais sans les vider !
Et de préférence avec le (ou la) partenaire régulier(e) qui mettra moins en émoi qu'une conquête d'un soir.
Comme le résume Ian Shier :
"Pour certains athlètes stressés, le sexe peut avoir des vertus relaxantes. Pour d'autres, leur principal besoin est de récupérer la veille de l'épreuve avec une bonne nuit de sommeil. L'idéal, c'est de trouver ce qui fait du bien et de s'y tenir."
Est-elle faite toute d'or ?
Et bien non ! Elle contient essentiellement de l'argent (le métal) et de seulement 1% d'or pur...
Tant pis mais bon, les 50.000 € versés par la France à chaque médaille d'or compensent !
En tout cas, bravo aux athlètes français qui ont participé et étaient parfois proches du podium.
Et très belles performances des médaillés !!